Economie du Windsurf
Re: Economie du Windsurf
Faudrait quand meme arreter de mettre l'accent sur la parité € / $. C'est si facile de trouver une excuse d'alter mondialiste.
Il y a bien longtemps que certaines marques se font payer en euro. D'autre part quand le $ baissait le prix du matos baissait ? Les prix de vente augmentent ils au prorata de l'augmentation du $ ?
Le problème du marché du wind est malheureusement endémique pour bien d'autres raisons.
Dans le 1er article de Télégramme on nous parle de fabricants. Il ne faut pas confondre fabricants et marques, ce sont déjà deux choses différentes. On nous parle de shop, d'école de voile, on oublie quand meme un ou deux échelons : la centrale d'achat et l'importateur national (qui sont souvent les memes mais pas toujours). La fin de l'article en guise de publi-reportage pour les marques bretones et le hand made sont le coup de grace pour se redonner un peu d'espoir. Pour etre sarcastique, je dirais la dernière clope avant la mise a mort.
Autant je salue l'initiative entrepreunariale, autant, et je dirais malheureusement, les bic, Elix et autre Copello ne sont quand meme pas les plus courantes sur les spots français..., et je pense, étrangers.
Bref c'est bien beau de faire un article vite fait, mais ce n'est en aucun cas une image réelle de la "situation commerciale".
Pour définir, ou plutôt redéfinir, les carences et la corrélation des besoins du marché du windsurf mondial, il faudra plus que 500 mots et une vision par le bout de la lorgnette.
Il y a bien longtemps que certaines marques se font payer en euro. D'autre part quand le $ baissait le prix du matos baissait ? Les prix de vente augmentent ils au prorata de l'augmentation du $ ?
Le problème du marché du wind est malheureusement endémique pour bien d'autres raisons.
Dans le 1er article de Télégramme on nous parle de fabricants. Il ne faut pas confondre fabricants et marques, ce sont déjà deux choses différentes. On nous parle de shop, d'école de voile, on oublie quand meme un ou deux échelons : la centrale d'achat et l'importateur national (qui sont souvent les memes mais pas toujours). La fin de l'article en guise de publi-reportage pour les marques bretones et le hand made sont le coup de grace pour se redonner un peu d'espoir. Pour etre sarcastique, je dirais la dernière clope avant la mise a mort.
Autant je salue l'initiative entrepreunariale, autant, et je dirais malheureusement, les bic, Elix et autre Copello ne sont quand meme pas les plus courantes sur les spots français..., et je pense, étrangers.
Bref c'est bien beau de faire un article vite fait, mais ce n'est en aucun cas une image réelle de la "situation commerciale".
Pour définir, ou plutôt redéfinir, les carences et la corrélation des besoins du marché du windsurf mondial, il faudra plus que 500 mots et une vision par le bout de la lorgnette.
Re: Economie du Windsurf
Ce qu'il manque, ce sont surtout des chiffres de volume de vente, par pays et par marque, par type de modèle, comme dans l'automobile.
Si l'on juge par l'activité des forums ou sur les spots, on a l'impression que cela reste un sport dynamique, mais avec relativement peu de jeunes et encore moins de débutants.
Les médias français spécialisés (Wind, U-ride, Windsurfjournal...) qui tentent de contredire l'article de Télégramme, ont une part de responsabilité en ne montrant comme toujours que les clichés ou le très haut niveau (haut niveau dans les vagues au soleil, ou les records du monde de vitesse, ...). Pas ou peu d'articles sur l'apprentissage, les spots locaux, le light wind : qu'on aime ou pas, ce sont quand même les conditions majoritaires sur la plupart des spots de l'hexagone. A titre de comparaison les médias spécialisés anglais sont beaucoup plus ouverts.
Les autres pratiques, raceboard, open qui revient un peu, la formula, certes minoritaires, ont été blacklistés, pas assez fun sans doute.
Un peu la même chose concernant les articles, essais de matériel, avec une sur-représentation des plus grandes marques. Par exemple, à ma connaissance, Wind n'a jamais parlé d'Elix.
Pour revenir à l'économie, hormis les plus grandes marques avec des moyens financiers suffisamment importants, toutes les autres marques (Loft, Naish, Exocet, ...) alternent des phases de conquête de nouveaux clients (prix plus bas et / ou investissement dans des coureurs) avec les coûts importants associés et des phases de recherche de bénéfices (augmentation des prix de vente, baisse ou suppression du nombre de coureur).
Cette crise permet à des projets de relocalisation ou de création d'entreprise en France (Elix, ...) de voir le jour ce qui est une très bonne nouvelle pour la funboard et l'économie française.
Si l'on juge par l'activité des forums ou sur les spots, on a l'impression que cela reste un sport dynamique, mais avec relativement peu de jeunes et encore moins de débutants.
Les médias français spécialisés (Wind, U-ride, Windsurfjournal...) qui tentent de contredire l'article de Télégramme, ont une part de responsabilité en ne montrant comme toujours que les clichés ou le très haut niveau (haut niveau dans les vagues au soleil, ou les records du monde de vitesse, ...). Pas ou peu d'articles sur l'apprentissage, les spots locaux, le light wind : qu'on aime ou pas, ce sont quand même les conditions majoritaires sur la plupart des spots de l'hexagone. A titre de comparaison les médias spécialisés anglais sont beaucoup plus ouverts.
Les autres pratiques, raceboard, open qui revient un peu, la formula, certes minoritaires, ont été blacklistés, pas assez fun sans doute.
Un peu la même chose concernant les articles, essais de matériel, avec une sur-représentation des plus grandes marques. Par exemple, à ma connaissance, Wind n'a jamais parlé d'Elix.
Pour revenir à l'économie, hormis les plus grandes marques avec des moyens financiers suffisamment importants, toutes les autres marques (Loft, Naish, Exocet, ...) alternent des phases de conquête de nouveaux clients (prix plus bas et / ou investissement dans des coureurs) avec les coûts importants associés et des phases de recherche de bénéfices (augmentation des prix de vente, baisse ou suppression du nombre de coureur).
Cette crise permet à des projets de relocalisation ou de création d'entreprise en France (Elix, ...) de voir le jour ce qui est une très bonne nouvelle pour la funboard et l'économie française.
FORMULA / SLALOM
Re: Economie du Windsurf
Et ça servirait a redresser le windsurf ? Ou simplement a voir l'ampleur du désastre ? Mais pour te donner une idée certains modèles de grande marque ne sont produit qu'a quelques 10zaines d'exemplaires.mag a écrit :Ce qu'il manque, ce sont surtout des chiffres de volume de vente, par pays et par marque, par type de modèle, comme dans l'automobile.
mag a écrit : Si l'on juge par l'activité des forums ou sur les spots, on a l'impression que cela reste un sport dynamique, mais avec relativement peu de jeunes et encore moins de débutants.
Les médias français spécialisés (Wind, U-ride, Windsurfjournal...) qui tentent de contredire l'article de Télégramme, ont une part de responsabilité en ne montrant comme toujours que les clichés ou le très haut niveau (haut niveau dans les vagues au soleil, ou les records du monde de vitesse, ...). Pas ou peu d'articles sur l'apprentissage, les spots locaux, le light wind : qu'on aime ou pas, ce sont quand même les conditions majoritaires sur la plupart des spots de l'hexagone. A titre de comparaison les médias spécialisés anglais sont beaucoup plus ouverts.
Les autres pratiques, raceboard, open qui revient un peu, la formula, certes minoritaires, ont été blacklistés, pas assez fun sans doute.
Un peu la même chose concernant les articles, essais de matériel, avec une sur-représentation des plus grandes marques. Par exemple, à ma connaissance, Wind n'a jamais parlé d'Elix.
Les forums : toujours les memes, quelques 100aines, tout au plus de personnes qui s'y adonnent.
Pour ce qui est des médias, tu veux qu'ils te vendent du reve en boite en te faisant voir une marre boueuse ? qu'ils te présentent une bic techno sous toute les coutures ? Faut aussi arreter, ils répondent a une demande du public. Personne ne pense a acheter du matos bas de gamme, faut arreter l'hypocrisie.
Maintenant si un bon communicant arrive a vendre de la board de base sanglée sur une Lada avec mazerolle comme fond en février, promis je lui suce le petit orteil.
Pour ce qui est de la présentation matos, tu peux te douter que les tests sont en corrélation avec le budget com de la marque.
mag a écrit :
Pour revenir à l'économie, hormis les plus grandes marques avec des moyens financiers suffisamment importants, toutes les autres marques (Loft, Naish, Exocet, ...) alternent des phases de conquête de nouveaux clients (prix plus bas et / ou investissement dans des coureurs) avec les coûts importants associés et des phases de recherche de bénéfices (augmentation des prix de vente, baisse ou suppression du nombre de coureur).
Cette crise permet à des projets de relocalisation ou de création d'entreprise en France (Elix, ...) de voir le jour ce qui est une très bonne nouvelle pour la funboard et l'économie française.
Et la fabrication française va tirer le prix des asiatiques vers le bas ? L'économie française, elle se fout du windsurf ma pov'dame, le jour ou la branche windsurf de bic fermera définitivement, on aura le droit a 3 minutes sur France3 mais ça ne sera pas la fermeture d'une usine PSA avec un 1er sinistre qui se déplace pour alléger le plan de restructuration et donner un peu de cash à la boite parce qu'elle le vaut bien.
Comme je disais c'est une excellente chose qu'encore des artisants investissent dans le wind en France mais ça ne change en rien la donne. Les Elix sont je pense a quelque chose pret, j'allais dire aussi cher, au meme tarif que les autres.
Alors a part faire cocorico, rien de bien nouveau sur le marché. A part une segmentation encore un peu plus forte.
Le développement du marché wind, c'est un peu comme remettre le dentifrice dans le tube : ça va être freestyle. Mais pas infaisable.
Re: Economie du Windsurf
M, n'hésite pas à faire plus constructif la prochaine fois, à exprimer tes idées, en plus de 500 mots si tu veux, et pas uniquement tout critiquer systématiquement à commencer par les post des autres.
Va voir les médias anglais, ils parlent de ce qui fait rêver, bien-sûr, mais aussi du local (je ne crois pas que l'Angleterre fasse plus rêver que la France), et aussi d’apprentissage.
L'avenir du windsurf passe d'abord par le recrutement de nouveaux pratiquants, hors quand je navigue, je vois en très grande majorité des gens de 30 - 60 ans pour faire large, qui pratiquent la planche depuis très longtemps et peu de nouveaux pratiquants ou de jeunes.
Va voir les médias anglais, ils parlent de ce qui fait rêver, bien-sûr, mais aussi du local (je ne crois pas que l'Angleterre fasse plus rêver que la France), et aussi d’apprentissage.
L'avenir du windsurf passe d'abord par le recrutement de nouveaux pratiquants, hors quand je navigue, je vois en très grande majorité des gens de 30 - 60 ans pour faire large, qui pratiquent la planche depuis très longtemps et peu de nouveaux pratiquants ou de jeunes.
FORMULA / SLALOM
Re: Economie du Windsurf
Mag, désolé, si cela a été interprété brutalement (c'est vria que bon des fois je suis peut etre pas très diplomate), mais bon franchement.... c'est une discussion qui a lieu depuis 10 ans
Beaucoup de choses se mélangent, la critique était là pour justement pointé qu'on peut vite s'égarer sur le sujet. Mais n'était en aucun cas fait pour froisser ou énerver si tel est le cas.
La critique est un simple constat de ce qui est factuel. On ne peut pas répondre que l'économie française se portera mieux avec 3 boites de plus dans le Windsurf par exemple ou que celle-ci peuvent apporter quelques choses au marché mondiale du wind
Pour ce qui est de la population du windsurf, je suis complétement d'accord. Le windsurfeur moyen ne doit pas faire assez d'enfants, le renouvellement de la population n'est plus assuré
La question a se poser, et là tu touches l'épine dorsale du sujet, du moins une grosse partie, du marché du wind : Pourquoi la moyenne des pratiquants ne cesse de s'élever sans assez de renouvellement. Les causes sont multiples, le coût dont nous parlions auparavant en est une composante.
Beaucoup de choses se mélangent, la critique était là pour justement pointé qu'on peut vite s'égarer sur le sujet. Mais n'était en aucun cas fait pour froisser ou énerver si tel est le cas.
La critique est un simple constat de ce qui est factuel. On ne peut pas répondre que l'économie française se portera mieux avec 3 boites de plus dans le Windsurf par exemple ou que celle-ci peuvent apporter quelques choses au marché mondiale du wind
Pour ce qui est de la population du windsurf, je suis complétement d'accord. Le windsurfeur moyen ne doit pas faire assez d'enfants, le renouvellement de la population n'est plus assuré
La question a se poser, et là tu touches l'épine dorsale du sujet, du moins une grosse partie, du marché du wind : Pourquoi la moyenne des pratiquants ne cesse de s'élever sans assez de renouvellement. Les causes sont multiples, le coût dont nous parlions auparavant en est une composante.
Re: Economie du Windsurf
On a largement dépassé l'interprétation Ce n'est pas la contradiction qui me gêne, au contraire, c'est l'opposition sans argument.M a écrit :Mag, désolé, si cela a été interprété brutalement (c'est vra que bon des fois je suis peut etre pas très diplomate), mais bon franchement.... c'est une discussion qui a lieu depuis 10 ans
Et pourquoi cette discussion a lieu depuis 10 ans ? Parce que personne n'a voulu changé depuis 10 ans et tu pourrais dire 20 ans. Sauf que de nouveaux supports concurrents sont arrivés (kite) et qu'à être trop tourné sur l'élite et le "rêve" on a encore oublié l'initiation, les débutants, les pratiques plus adaptées à la pétole estivale et à nos spots, ... L'exemple le plus flagrant est celui des mâts, regarde le bazard que c'est, (SDM, RDM, drop shape, hard top, constant curve, flex top), une bonne partie des questions techniques concerne le choix du mât pour une voile donnée, que les marques ne viennent pas se plaindre après cela !
Si justement, à leur modeste niveau. Hors secteur agricole et banque - assurance, les PME représentent plus d'emplois en France que toutes les grosses entreprises réunies. Donc chacun à son modeste niveau, Elix, Select, ERD, Exocet avec un modèle plus conventionnel ... y contribuent. Et concernant Elix, la marque apporte une fabrication en carbone pré-imprégné qui n'existait pas tout court dans le Windsurf (flotteurs) et un modèle économique ou pour 2000€ payé tu reçois un produit dont la valeur de fabrication vaut probablement plus de 1000€ alors que jusqu'à présent, pour le même prix final payé c'était plutôt 500€.M a écrit :On ne peut pas répondre que l'économie française se portera mieux avec 3 boites de plus dans le Windsurf par exemple ou que celle-ci peuvent apporter quelques choses au marché mondiale du wind
D'autre part, cet article et les discussions qui en ont suivi ont permis d'apprendre qu'Elix a vendu, je crois, plus de 400 flotteurs sur une année, c'est loin d'être négligeable !
Et n'oublions pas que la France reste, le ou l'un des premier(s) marchés mondial pour le windsurf, normal que l'on fabrique une partie du matériel, non !
Elles montrent également que si nous arrêtons de râler et si nous relevons nos manches nous pouvons y arriver comme les autres, je trouve cela très encourageant dans la conjecture actuelle. L'exemple italien est intéressant (RRD, Point 7, Challenger Sails, ...)
Ta remarque un peu méprisante sur communiquer sur Mazerolle ou sur Bic est déplacée, car pouvoir pratiquer et apprendre de la planche à quelques minutes d'une grande ville avec un matériel adapté est justement un atout pour attirer des nouveaux pratiquant et des jeunes (scolaires ?).M a écrit :Pour ce qui est de la population du windsurf, je suis complétement d'accord. Le windsurfeur moyen ne doit pas faire assez d'enfants, le renouvellement de la population n'est plus assuré .
FORMULA / SLALOM
Re: Economie du Windsurf
je ne méprise aucune marque ni aucun lieu, c'est pour mettre en exergue la différence avec les jolis spots des 4 coins du monde desquels tu parlais.
AH oui j'ai débuter à Maz et j'ai eu quelques bics aussi que j'ai adoré. J'ai habiter 20 ans sur la Chapelle. Désolé mais pour avoir nav en Février sous la flotte sur Maz, tu te dis que tu serais mieux au soleil avec une eau limpide... comme dans les mag
Les arguments ? pour faire un état des lieux du marché c'est un gros travail, au mini un an pour faire un bon mémoire.Bon tu m'excuse mais là j'ai pas franchement le temps. Je ne donne que des faits, l'argumentaire nécessiterait d'avoir fait justement cet état des lieux avant de proposer des solutions.
Je suis tout à fait conscient du poids des TPE/PME en France et non 3 boites françaises du wind ne représente rien sur l'EBE de la nation.
Update tes données, la France est loin derrière en terme de vente sur le marché wind.
Quand au fantasme de la board a 500 € qui sort de chez Cobra, idem ça me fait doucement rire pour avoir vu des factures envoyées aux marques par Cobra et non la valeur d'une board made in france est moindre que 1000 €
Bon le carbone prepeg, ça fait aussi quelques années que cela existe.. meme à l'autre bout du monde. Le marketing fait sont oeuvre. Le seul point que je vois, c'est que le contrôle qualité est peut être un peu mieux suivi. Et c'est un gros plus si cela est fait car avoir une planche droite, c'est pas si facile meme avec des moules.
A ce que j'en sais :
RRD : produit chez cobra
P7 : Chine
Challenger : Chine.
AH oui j'ai débuter à Maz et j'ai eu quelques bics aussi que j'ai adoré. J'ai habiter 20 ans sur la Chapelle. Désolé mais pour avoir nav en Février sous la flotte sur Maz, tu te dis que tu serais mieux au soleil avec une eau limpide... comme dans les mag
Les arguments ? pour faire un état des lieux du marché c'est un gros travail, au mini un an pour faire un bon mémoire.Bon tu m'excuse mais là j'ai pas franchement le temps. Je ne donne que des faits, l'argumentaire nécessiterait d'avoir fait justement cet état des lieux avant de proposer des solutions.
Je suis tout à fait conscient du poids des TPE/PME en France et non 3 boites françaises du wind ne représente rien sur l'EBE de la nation.
Update tes données, la France est loin derrière en terme de vente sur le marché wind.
Quand au fantasme de la board a 500 € qui sort de chez Cobra, idem ça me fait doucement rire pour avoir vu des factures envoyées aux marques par Cobra et non la valeur d'une board made in france est moindre que 1000 €
Bon le carbone prepeg, ça fait aussi quelques années que cela existe.. meme à l'autre bout du monde. Le marketing fait sont oeuvre. Le seul point que je vois, c'est que le contrôle qualité est peut être un peu mieux suivi. Et c'est un gros plus si cela est fait car avoir une planche droite, c'est pas si facile meme avec des moules.
A ce que j'en sais :
RRD : produit chez cobra
P7 : Chine
Challenger : Chine.
Re: Economie du Windsurf
parole de débutant complet en pratique et dans ce monde qu' est le windsurf
Ce qui freine c'est le ratio prix/contrainte.
Débuter dans ce sport c'est rapidement 2000 euros de dépense et encore en prenant une partie du matériel en occase.
moi:
500 de planche (techno 148) + 1 gréement débutant (5m2) déjà j'ai du bol, c'est souvent le prix du flotteur seul (mise à part un paquebot de 20 ans d'age)
300 de combi (x2 qu'on étale ou pas sur l'année)
180 de stage
150 de divers (bottillons, drisse, poncho ... oui un peu d'effet marketing aussi)
très vite (dans les 6 mois je pense ) il faudra investir dans 1 voir 2 voiles (donc certainement un gréement complet) si on veut pouvoir apprendre le planning.
budget de 1000 euros en mixant occase/promo .
ça c'est pour le budget, alors perso j'ai vendu ma moto pour tenter l'aventure, alors oui c'est moins cher que pour une brêle et pourtant on en vois un paquet sur les routes.
Le motard lambda va faire un crédit de 10000 euros pour son 2 roues (pas mon cas, je roulais que sur des vieilles mal aimées ).
Qui va prendre un crédit pour faire un sport qui demande:
1-de investissement en temps. (certainement, bah oui je n'ai pas encore commencé)
prépa matos sur/dans véhicule, prépa sur place, nav, rangement dans véhicule, rangement (nettoyage) at home .
2-de donner de sa personne plus qu'on en voudrais (à vous lire les débuts sont compliqués)
3-de ce cailler les miches (bah oui on est pas à Honolulu)
4-de pouvoir trimballer sont matériel (plus facile de mettre un kite dans le coffre)
5-de pouvoir stocké son matériel (pas facile dans un studio
6-de réunir toutes ces conditions quand la météo en est !
Enfin n'oublions pas qu'on est dans un monde où tout le monde veux que ça aille vite, donc si certains ne constate pas de progrès rapide c'est vite l'abandon.
ça peu décourager de dépenser autant d'argent sans savoir si ça va le faire à la finale.
Mais perso, et toujours en comparant au monde motard, j'aimerais bien moi qu'il est plus de chose ce rapportant aux débutants et aux conditions réel de navigation.
Les photos et articles de pro sous le soleil ça fait rêver mais bon qui à les moyens d'aller naviguer là bas, pas la jeunesse en tout cas .
Et je suis d’ailleurs très surpris qu'il n'y ait pas plus de sujets sur les forums concernant les débuts ainsi que surpris du peu d’inscription (toujours comparé à d'autres activités).
Bref c'est juste un billet d’humeur en vrac d'un pré-débutant
Ce qui freine c'est le ratio prix/contrainte.
Débuter dans ce sport c'est rapidement 2000 euros de dépense et encore en prenant une partie du matériel en occase.
moi:
500 de planche (techno 148) + 1 gréement débutant (5m2) déjà j'ai du bol, c'est souvent le prix du flotteur seul (mise à part un paquebot de 20 ans d'age)
300 de combi (x2 qu'on étale ou pas sur l'année)
180 de stage
150 de divers (bottillons, drisse, poncho ... oui un peu d'effet marketing aussi)
très vite (dans les 6 mois je pense ) il faudra investir dans 1 voir 2 voiles (donc certainement un gréement complet) si on veut pouvoir apprendre le planning.
budget de 1000 euros en mixant occase/promo .
ça c'est pour le budget, alors perso j'ai vendu ma moto pour tenter l'aventure, alors oui c'est moins cher que pour une brêle et pourtant on en vois un paquet sur les routes.
Le motard lambda va faire un crédit de 10000 euros pour son 2 roues (pas mon cas, je roulais que sur des vieilles mal aimées ).
Qui va prendre un crédit pour faire un sport qui demande:
1-de investissement en temps. (certainement, bah oui je n'ai pas encore commencé)
prépa matos sur/dans véhicule, prépa sur place, nav, rangement dans véhicule, rangement (nettoyage) at home .
2-de donner de sa personne plus qu'on en voudrais (à vous lire les débuts sont compliqués)
3-de ce cailler les miches (bah oui on est pas à Honolulu)
4-de pouvoir trimballer sont matériel (plus facile de mettre un kite dans le coffre)
5-de pouvoir stocké son matériel (pas facile dans un studio
6-de réunir toutes ces conditions quand la météo en est !
Enfin n'oublions pas qu'on est dans un monde où tout le monde veux que ça aille vite, donc si certains ne constate pas de progrès rapide c'est vite l'abandon.
ça peu décourager de dépenser autant d'argent sans savoir si ça va le faire à la finale.
Mais perso, et toujours en comparant au monde motard, j'aimerais bien moi qu'il est plus de chose ce rapportant aux débutants et aux conditions réel de navigation.
Les photos et articles de pro sous le soleil ça fait rêver mais bon qui à les moyens d'aller naviguer là bas, pas la jeunesse en tout cas .
Et je suis d’ailleurs très surpris qu'il n'y ait pas plus de sujets sur les forums concernant les débuts ainsi que surpris du peu d’inscription (toujours comparé à d'autres activités).
Bref c'est juste un billet d’humeur en vrac d'un pré-débutant
rrd firestorm 112 ltd V3 // cross silver 94
Ezzy: cheetah(23) 7.0-6.0 // zeta(23) 5.2-4.5 // XO-shark(19) 4,0
exocet freefoil 132 AST // taaroa Noé 97 - freeride-freerace
Ezzy: cheetah(23) 7.0-6.0 // zeta(23) 5.2-4.5 // XO-shark(19) 4,0
exocet freefoil 132 AST // taaroa Noé 97 - freeride-freerace
Re: Economie du Windsurf
J'ai lu le poste en entier et je suis assez d'accord avec tout ce qui a été dit. Forcément, le ressenti de M, encore professionnel du secteur il y a peu, est différent de Mag, client sensible au label "made in France". Je crois qu'il faut tout simplement reconnaitre que notre sport est devenu un sport confidentiel, loin du sport de masse qu'il a pu être dans les années 80. Et ceci, pour un tas de raisons que tout le monde connait. D'autres sports sont aussi dans ce cas comme par exemple la voile légère. Dans un contexte de niche, le prix du matériel a souvent tendance augmenter et la qualité va généralement avec. Au final, nous sommes pas très nombreux, ce qui ne nous empêche pas d'être passionnés voire accros. Notre budget planche n'est pas extensible et chacun se débrouille comme il peut en fonction de ses moyens. Neuf, neuf en promo, occasion, échange. Des achats passion et des achats raison ... Ce qui est important, c'est que le matériel tourne, qu'il serve et que les sous changent de main. Est ce que l'industrie du Wind sera florissante dans les années qui viennent ? Pourquoi pas ? Le modèle économique est en train de changer et on verra bien qui saura en profiter ... En tout cas, ce qui est sûr, c'est que je ne passe pas au kite et qu'on me verra sur l'eau à la moindre occase. Et je ne désespère pas de faire un windsurfeur(euse) sur mes 4 jeunes !
A + sur l'eau !
A + sur l'eau !
Re: Economie du Windsurf
Parole d'un "vieux"flo-rt a écrit :parole de débutant complet en pratique et dans ce monde qu' est le windsurf
Ce qui freine c'est le ratio prix/contrainte.
Qui va prendre un crédit pour faire un sport qui demande:
1-de investissement en temps. (certainement, bah oui je n'ai pas encore commencé)
prépa matos sur/dans véhicule, prépa sur place, nav, rangement dans véhicule, rangement (nettoyage) at home .
2-de donner de sa personne plus qu'on en voudrais (à vous lire les débuts sont compliqués)
3-de ce cailler les miches (bah oui on est pas à Honolulu)
4-de pouvoir trimballer sont matériel (plus facile de mettre un kite dans le coffre)
5-de pouvoir stocké son matériel (pas facile dans un studio
6-de réunir toutes ces conditions quand la météo en est !
Je pense que tu n'es pas (encore?) passionné tout simplement
Sur tes points:
1/la prepa : ca fait parti du truc! C'est un plaisir par exemple de gréer une voile avant la nav!
2/ les débuts sont pas simple OK mais ils sont a la hauteur du plaisir ensuite!
3/je suis prêt a me cailler pour une session magique
4/tu prends une vieille Twingo et je t'assure que tout rentre (j'ai une c3 entreprise et je met 2 boards,4 voiles, 3 mats, 2 wish, etc..)
5/la ok ca peut être un peu galère
6/on dépend de la meteo mais il y d'autres sports comme ca ...ex le kite
Re: Economie du Windsurf
Board sous le lit avec le wish, mat sur l'armoire et voile dans la douche le temps que ça seche.gigi66 a écrit : 5-de pouvoir stocké son matériel (pas facile dans un studio
Re: Economie du Windsurf
@gigi66
Mon exemple vaut pour un débutant qui ce lance.
On est bien d'accord que dès que la passion est là plus rien ne semble être une vraie contrainte mais il faut bien vivre à côté quand même.
Et je ne doute pas de vite me retrouver mordue
Je fais des pieds et des mains en attendant de pouvoir faire mon stage.
@M
Forcément vue comme ça
Mon exemple vaut pour un débutant qui ce lance.
On est bien d'accord que dès que la passion est là plus rien ne semble être une vraie contrainte mais il faut bien vivre à côté quand même.
Et je ne doute pas de vite me retrouver mordue
Je fais des pieds et des mains en attendant de pouvoir faire mon stage.
@M
Forcément vue comme ça
rrd firestorm 112 ltd V3 // cross silver 94
Ezzy: cheetah(23) 7.0-6.0 // zeta(23) 5.2-4.5 // XO-shark(19) 4,0
exocet freefoil 132 AST // taaroa Noé 97 - freeride-freerace
Ezzy: cheetah(23) 7.0-6.0 // zeta(23) 5.2-4.5 // XO-shark(19) 4,0
exocet freefoil 132 AST // taaroa Noé 97 - freeride-freerace
Re: Economie du Windsurf
Ok, dommage que tu ne nous donnes pas quelques chiffres. Je suis parti du raisonnement suivant, faute d'information sur internet :M a écrit :Quand au fantasme de la board a 500 € qui sort de chez Cobra, idem ça me fait doucement rire pour avoir vu des factures envoyées aux marques par Cobra et non la valeur d'une board made in france est moindre que 1000 €
Flotteur cobra :
- Prix de vente final : 2000€ (pour faire simple)
- Marge magasin : 30% (pas très viable de vendre avec moins), donc prix d'achat magasin autours de 1500 €
- Marque + importation : 40% (qui inclue les frais de transport, un container n'est pas très cher), ce qui fait un prix d'achat chez Cobra autours de 1200 €
- Fabricant (Cobra), sur un produit fabriqué en France il faut avoir un prix de vente supérieur à 2 fois le prix de revient pour faire tourner la baraque, je suis parti de 80% pour Cobra, ce qui fait un prix de revient de Cobra entre 500 et 700€ selon les marges que l'on prend aux différentes étapes.
Flotteur fabrication française, vendu en direct :
- Prix de vente final : 2000€ (pour faire simple)
- Fabricant (local) : sur une base de prix de vente = 120% - 100% du prix de revient, on arrive à un prix de revient autours de 900 et 1000€
Oui, Exocet et XO Sails aussi. C'était juste pour illustretr le dynamisme en Italie. De manière plus générale, il y a beaucoup de nouveaux acteurs (flotteurs, ailerons en particulier), j'imagine qu'ils ne se jettent pas dans de tels projets uniquement pas passion, il y a aussi l'espoir d'y gagner son pain !M a écrit :A ce que j'en sais :
RRD : produit chez cobra
P7 : Chine
Challenger : Chine.
Il faut mentionner le fait que les shapers sont aujourd'hui au même prix voir inférieur que les modèles de série.
Entre l'importance du marché de l'occasion et le développement de la vente directe fabricant - utilisateur final, c'est clairement le shop qui souffre le plus.
FORMULA / SLALOM
Re: Economie du Windsurf
La critique est toujours constructive surtout de la part d'une personne qui à vécu au cœur du système, je pense que M rêverais de "tout dire" au lieu de ça il se contente d'un "si tu savais".mag a écrit :M, n'hésite pas à faire plus constructif la prochaine fois, à exprimer tes idées, en plus de 500 mots si tu veux, et pas uniquement tout critiquer systématiquement à commencer par les post des autres.
Va voir les médias anglais, ils parlent de ce qui fait rêver, bien-sûr, mais aussi du local (je ne crois pas que l'Angleterre fasse plus rêver que la France), et aussi d’apprentissage.
L'avenir du windsurf passe d'abord par le recrutement de nouveaux pratiquants, hors quand je navigue, je vois en très grande majorité des gens de 30 - 60 ans pour faire large, qui pratiquent la planche depuis très longtemps et peu de nouveaux pratiquants ou de jeunes.
Par contre je suis entièrement d'accord avec ce que tu annonces sur l'enrôlement de nouveau pratiquant. C'est d'ailleurs ce pourquoi je m’investis peu à peu de ce monde assez ingérant et désargenté.
Si l'économie du windsurf s'effondre c'est avant tout par ce que les clients ne sont plus là, pour ne pas dire ont fui. Le véritable engouement pour ce sport à disparu, seul reste une petite poignée d'afficionados ultra passionnées et pourtant, en France en tout cas, presque tout le monde a fait de la planche voir même en a possédé une. On retrouve toujours une vielle Dufour au fond des jardins et des garages. Que s’est-il passé ? Pourquoi ce désintéressement du grand public ?
Je pense que victime de son succès la planche et ses industriels ont totalement saboté le marché en privilégiant, comme dans tout sport d'ailleurs, le côté sportif et compétitif du sport et du matériel. La planche était un symbole de liberté et de facilité en comparaison à la voile traditionnelle. Un moyen abordable et ludique pour tous d'accéder aux joies de la glisse en mer. Le marketing et l'argent, l'esprit de compétition, les modelés de plus en plus inaccessibles et fragile ont fait se détourné les pratiquant les moins sportif qui finalement représentaient une grande majorité. Bien sûre il y à d'autre paramètres comme le transfert des ménages de leur "pouvoir d'achat" vers de nouveau type de produits de consommation, ou la force destructrice des médias de masse qui oriente de plus en plus les activités des gens. Mais avant toute chose je crois que le windsurf et ces acteurs n'ont pas assez pensé leur avenir et ont de manière assez grotesque simplement profité de la manne financière qui gravitait autour dans les année 90 avant de soudainement disparaitre !
Développer des modèles chaque année soi-disant plus performants, n'organiser que des compétitions pour encenser un et un seul vainqueur, mettre sur un pieds d'éstale les "stars" du windsurf ont peu à peu contribué au délitement de l'intérêt du publique et des jeunes pour ce sport magnifique. L'heure de la remise en question est arrivée mais les institutions n'existent plus, les industries sont mondialisées et délocalisées, qui a aujourd'hui le pouvoir d'inverser la tendance ? La FFV (non elle ne fait que gérer) l'AFF (non, sa vocation reste l'organisation de compétition) les marques (non de peur de faire fuir encore plus le peu de client qu'elle ont et par manque de moyens) ... Qui sera capable de refaire monter sur des planches à voiles de nouveaux passionnés en grand nombre, en très grand nombre ? Qui pourra donner à ce sport une visibilité suffisante pour que les médiats s'y intéresse de nouveau et que les gens ne le confondent plus avec le Kite ou le surf ? Qui sera capable de refaire émerger auprès des gens cette idée que la planche est beaucoup plus d'un simple support ?
Une solution : Créer une association pour le développement du windsurf dont le seul but serait la promotion de la pratique en mer ou sur plan d'eau intérieur. Un travail de fond pour une réflexion sur les méthodes et les moyens à employer pour rendre à la planche sa place parmi les activités nautiques. Un cercle de réflexions, un travail pédagogique sans compétitions pour sensibiliser les gens à la pratique. Trouver une philosophie et une stratégie pour mettre en avant les qualités intrinsèques à la planche, celle qui font de ses pratiquants des gens plus ouvert sur leur monde.
Bien sûr il faudra aussi des compétitions et il est certain que le développement du matériel est un atout crucial pour l'avenir du windsurf mais il est temps je crois de penser fort et d'agir. Les budget d’états et de sponsoring réduise les capacités des institutions et acteurs traditionnels qui font pourtant vivre le monde du windsurf en France, l’AFF par exemple innove cette année avec l’apparition et le retour du Foil et de la formula. La mise en place d’une retransmission en direct de chaque évènement et la mise en avant par la fédération d’une équipe de France sont des éléments qui vont permettre de redonner du crédit et une meilleure visibilité à la pratique. Il faut fédérer nos efforts et nos idées, critiquer proposer, travailler innover et ceci localement avant tout.
Proposer comme font les marques du matériel pour débutants est une chose qui permet certainement aux passionnés de partager leur passion avec leurs proches mais jamais cela ne donnera l'idée à une personne sans contact avec le milieu de la voile de venir essayer la planche et de s'y intéresser. La planche comme philosophie et mode de vie à la place d'un mode d'expression sportif !
(Certainement plein de fautes dans ce texte que je corrigerais au fur et à mesure)
Re: Economie du Windsurf
Dans la même réflexion, il y a aussi les riders qui abandonnent parce qu’ils ne progressent plus ou n’atteignent pas X nœuds ou ne surf pas radical...Combien de CR lu "c'était pourri, nul, etc ...." Sauf si tu veux devenir Pro, faut prendre du plaisir rien que de n'être pas au taf ou dans ton canapé (quoi que )
Déjà en France nous disions Funboard au lieu de planche à voile ou (windsurf) qui faisait débutant.... Maintenant quand tu fais du freeride, tu fais du débutant, alors que dans d'autres sports comparables c'est plutôt cool, libre, voir agressif (ski, snow). L'histoire se répète les planches à voiles sont de plus en plus "typées" et donc techniques Les débutants sont souvent des laissés pour comptes sur les spots.
La planche si tu n'es pas passionné, tu ne l'a pratique que l'été, aujourd'hui il y a des planches simples et abordables. J'ai une Sealion XL et j'ai déjà mis plusieurs personnes dessus, qui se sont éclatés, moi même l'été j'aime faire des ronds dans l'eau avec
Sinon les marques de ski (neige) sont revenus en arrière avec des skis faciles, ludiques et abordables
A suivre, mais le windsurf is not dead
Déjà en France nous disions Funboard au lieu de planche à voile ou (windsurf) qui faisait débutant.... Maintenant quand tu fais du freeride, tu fais du débutant, alors que dans d'autres sports comparables c'est plutôt cool, libre, voir agressif (ski, snow). L'histoire se répète les planches à voiles sont de plus en plus "typées" et donc techniques Les débutants sont souvent des laissés pour comptes sur les spots.
La planche si tu n'es pas passionné, tu ne l'a pratique que l'été, aujourd'hui il y a des planches simples et abordables. J'ai une Sealion XL et j'ai déjà mis plusieurs personnes dessus, qui se sont éclatés, moi même l'été j'aime faire des ronds dans l'eau avec
Sinon les marques de ski (neige) sont revenus en arrière avec des skis faciles, ludiques et abordables
A suivre, mais le windsurf is not dead
Have fun
Phy
Phy